Le bruit et la violence des générateurs de Bagdad

Dès que l’électricité de l’État est coupée, l’orchestre des dizaines de moteurs disséminés dans chaque ruelle se met en marche, une dynamo de sons gronde sans pitié, et l’air empeste sous la lourde odeur de brûlé qui fait désormais partie de l’identité du lieu.