Lors des élections de 2018, le Mouvement patriotique libre a forgé des alliances inimaginables, du Groupe islamique à Sidon à Michel Moawad à Zgharta, et les contradictions et différences entre eux. De ces élections, Gibran Bassil a voulu gagner une légitimité populaire en tant que successeur de Michel Aoun, non seulement à la présidence du mouvement, mais aussi dans la capacité d’accéder au parlement avec un grand bloc numérique, malgré tous les schismes qui ont affecté le mouvement. à ce stade, ainsi que les conflits familiaux sur la succession.