Aurons-nous une nouvelle mémoire collective à Beyrouth ?

Dans ce coin, une personne a perdu un morceau de son corps, et dans ce coin aussi une belle femme est maintenant assise avec ses amis, comme si toutes les morts qui se sont produites ne se sont pas produites, les vivants continuent à vivre même si cette zone a perdu une partie de son entité précédente, et elle est maintenant coincée entre ce qu’elle formait Et ce qu’elle serait .