A ceux qui ne lisent pas à Beyrouth

Ils écrivent encore et encore sur Beyrouth, mais nous ne les lisons pas, n’est-ce pas ? Nous ne sommes pas une communauté de lecteurs. Nous sommes une société qui dépend des distractions pour survivre, et les livres sont la pire des occupations. Les mots nous mettent face à des expériences que nous voulons oublier.